L'analogie peut-elle être une aide pour le primo-débutant, lui permettant d'aborder l'écriture musicale dès le début de son apprentissage ? Le "détour analogique" peut-il conduire à un terrain neutre où professeur et élève se trouvent à égalité ? L'apprenant en saurait peut-être alors plus que le "Maître Ignorant"? Sous quel signe peut alors se placer cette rencontre ? Quelque soit l'écriture choisie, la partition reste toujours à interpréter… 

 
analogique, primo-débutant, écriture musicale, apprentissage, partition