Qu'est ce que La Dynamique De(s) Groupe(s) ?

DÉFINITION / HISTORIQUEenlightened



La dynamique de groupe est l'ensemble des phénomènes, mécanismes et processus psychiques et sociologiques qui émergent et se développent dans les petits groupes sociaux appelés aussi groupes restreints. 
En étymologie le terme groupe serait récent. Il aurait été importé d’Italie du monde des beaux arts (groppo) vers le milieu du 17ème siècle. Il signifiait « un assemblage d’éléments, une catégorie d’être ou d’objet ».

Historique :

Les récits de la mythologie grecque : distinction entre le groupe restreint et le groupe élargi.

les origines du christianisme témoignerait du dynamisme de groupe (Jésus et les 12 apôtres)  
Le mot « group dynamic » apparaît pour la première fois dans un article de Kurt Lewin de 1944, consacré au rapport de la théorie et de la pratique en psychologie sociale.

Kurt Lewin (1890 — 1947) 


Psychologue américain d’origine allemande spécialisé dans la psychologie sociale et le comportementalisme. Travail sur la psychologie individuelle dans un premier temps puis à la psychologie de groupe, en s'intéressant d’abord à la vie quotidienne des gens.
Aujourd’hui l'expression « dynamique de groupe » est entendu dans un sens plus ou moins large selon les milieux.
Pour certains chercheurs en psychologies sociales. L'expression couvre l'ensemble des recherches dans le domaine du groupe
Pour d'autres, l'expression désigne les chercheurs de tendance Lewinienne à l'exclusion des autres.

 

La dynamique de groupe du point de vue des chercheurs :les diverses tendances d'études

Cattel (factorialiste) et les tenants de la dynamique de groupe ont en commun une certaine conception dynamique des phénomènes de groupe, un souci théorique sur le plan de la séparation de grands ensembles de variable mais ils différents dans leur conception de la recherche.

Les Factorialistes :

Cattel pense que la méthode factorielle est rentable,soit la description du comportement de groupe au moyens de tests multiples et de l'analyse factorielle :

Pour eux il y a 3 caractéristiques pour définir un groupe :

- Les traits de population

- Les caractéristiques de structure interne (qui concernent les relations parmi les membres du groupe)

- Les traits de syntalité (comportement du groupe en tant que groupe)

La dynamique de groupe :

Les partisans de la dynamique de groupe sont persuadés que seule l'expérimentation pure est valable.

Cependant ils ont distingués 3 ensembles de variable assez voisin de ceux de Catell (factorialiste)

- les variables spécifiques au groupe, relativement indépendante des membres qui compose le groupe et leur personnalité (quand un individu appartient à un groupe il se trouve immédiatement en présence d'un certain nombre de variantes qui vont régir son comportement)

- variables qui régissent le comportement inter-membre (par exemple tendance à s'adresser plus souvent a un membre qui a des opinions éloignées des siennes plutôt qu'un membre qui a des opinions proche quand l'uniformité des opinions est nécessaire pour la marche du groupe)

- variables qui régissent le comportement individuel : variable psychologiques générales (niveau d'intelligence, degré de tolérance à la frustration, aptitudes diverses) et variables personnelles comme la personnalité et l'appartenance à tel ou tel groupe.

Dans un groupe naturel, ces différentes variables sont entremêlées. Les expérimentalistes de la dynamique de groupe s'efforcent de les séparés dans des « épures expérimentales » tout en restant conscients de leur existence et de leur intrication.

Les interactionnistes :

Ceux ci considère que la matière la plus élémentaire à observer dans le phénomène de groupe est « l'interaction » entre les individus :

Collecter des informations standardisées à partir de groupe naturel et en quantité suffisante avant de prétendre élaborer des théories

2 types interactionnistes :

les naturalistes : anthropologue d'origine pour la plupart (Homans, Chapple et Arensberg) qui étudient les petits groupes par observation sur le terrain

Les expérimentalistes : (Bales, Hare, Borgatta) qui admettent que l'on peut faire des expériences conçues.

Les sociométristes :

Ceux ci ne prêchent ni la description systématique, ni l'interaction pure. Ils font l'investigation d'un domaine où les confine l'emploi quasi exclusif des tests sociométriques et la majeure parties de leur recherche peut être classées dans des études de terrain puisqu'ils administrent leur test sociométriques a des groupes naturels (scolaire, communauté rurales, urbaine, équipes d'entreprise, administration)

La tendance psychanalytique :

Issue de la thérapeutique de groupe, elle dépasse la pratique en essayant d'expliquer le comportement général des groupes. Elle dispose d'une théorie dynamique la rapprochant de la dynamique de groupe plutôt que des autres tendances.

Parmi les contribution psychanalytique à la compréhension des phénomènes « dynamiques » des  groupes on citera celle de Bion et Erziel qui étudient le rôle des motivations et les buts de groupe inconscients.

L'apport le plus significatif se situe dans l'analyse des processus génétiques des comportements de groupe : influence significatives des premières expériences de groupe sur le comportement ultérieur d'un individu au sein du groupe  (le groupe familial est pour l'enfant le modèle de groupe, c'est dans la famille que se situe des attitudes fondamentales : rapport à l'autorité, au père, rapport à l'égard des pairs (frère et sœur))

 

 

Pincipaux thèmes de recherches en dynamique de groupe

- Les processus de changement :  
Études réalisées : 
Habitudes alimentaires (Lewin)
Groupes industriel, (Coch et French)
Entreprises (Jacques)
Ateliers indiens de tissages (Rice)
Groupe d'habitation (Festinger)

-Les communications (plus grande partie des études de ces dernières années). L'études des réseaux de communication.

Les groupes de discussion : mesure des motivations individuel dans le groupe, comportement de membres dans quatre cultures différentes. 

Décision du groupe : processus d'accord et conflit, effet du leadership partagés, effet de la décision sur le rappel des tâches terminées ou non.
 


Le groupe prend naissance avec trois participants. Avec l'arrivée d'un quatrième participant les phénomènes de groupes se dévoilent...

 

Classification des groupes par les auteurs Jacques-Yves Martin & Didier Anzieu : Cliquez-ici

 

Le groupe d'apprentissage : Philippe Meirieu (chercheur Lyonnais, spécialiste des sciences de l'éducation et de la pédagogie) met en évidence deux modalités de transmission au sein des formations : 

- Un maître qui informe de manière simultanée un groupe d'individus

- Relation binaire : maître / apprenti 

 « A fortiori, nul ne pensait qu'il soit possible d'envisager que des personnes non formées puissent, simplement par échange, produire le moindre savoir » P.Meirieu

 

Les pédagogies de groupes peuvent être définies comme cherchant à promouvoir en éducation :

- les relations plurielles et horizontales d'échanges entre élèves

- un contact direct avec les réalités du monde

- une évacuation totale ou partielle de l'autorité du maître

 
L'inspiration des pédagogies de groupe s'est incarné dans quatre courants : 
 

- Courant didactique: prône l'activité coopérative des élèves ce qui permet que les élèves apprennent  plus efficacement (John Dewey, Célestin Freinet)

- Courant politique (qui voit dans la pédagogie de groupe essentiellement un moyen de subvertir une société démocratique et former les individus à des comportements « révolutionnaires »)

 ne mets pas au premier plan l'apprentissage.

  Le pédagogue doit investir dans la classe la vacance du pouvoir et y instituer l'autogestion permanente (cf vidéo notion de contrat accueil le matin)

Ce n’est pas le maître qui est autorité mais il organise les discussions et la remise en question de toutes les décisions. Maître « acteur politique ».

- Courant religieux (qui fait du groupe un outil de réconciliation entre les sujets qui peuvent ainsi accéder à l'authenticité » dans les rapports humains)

groupe de militant, scoutisme

Sacralisation des forces qui favorise l'unité de groupe

unité forge une complicité avec le formateur contre tout ce qui menace cette unité. 

- Un courant psychothérapeutique (qui voit dans le groupe un moyen de traiter les sujets psychologiquement déstructurés)

 Développé essentiellement par  Fernand. Oury sous le nom « pédagogie institutionnelle »

les instituteurs qui se sont reconnus dans cette mouvance sont à l'origine les membres du mouvement Freinet qui souhaitait intégrer les apports de Freud et se retrouvait face à un public difficile sur lesquels les méthodes traditionnelles Freinet prévues s'avéraient insuffisantes.

 
 
Meirieu parle également du modèle de la classe.
 

La classe apparaît pour beaucoup comme l'unique modalité institutionnelle possible de transmission de connaissances aux jeunes. Systématisé seulement depuis 1 siècle et ses premières apparitions dates de 4 siècles environ. Mettre fin à « l'apprentissage par la vie ».

 
Plus d'infos sur les différents courants et les pédagogies de groupe dans cet article de Philippe Meirieu --> Cliquez-ici

Meirieu a étudié principalement les fonctionnements des groupes en formation donc en situation d’apprentissage.

Pour lui, ce qui caractérise les Pédagogies de groupe, c'est leur difficulté à se constituer comme pédagogie, c'est à dire leur esquive systématique de la question de l'apprentissage. 

Dans sa publication "groupes et apprentissages" P.Meirieu nous parle des enjeux et des problématiques pour les formateurs et pédagogues.

Il établi 4 logiques à travers lesquelles les personnes en formation vont évoluer au gré des conjonctures matérielles et psychologiques :

Le plus fréquemment le formateur exige à la fois une production de qualité et la participation de tous à l'élaboration du projet. Il suppose donc implicitement un lien entre logique productive et logique d'apprentissage

S'ajoute aussi souvent l'appel au monitorat, une des personnes en formation explique à la place du moniteur, logique de monitorat

On ajoute à ces trois fonctionnements l'existence de temps à caractère fusionnel logique de réconciliation: opérer une réconciliation ou restaurer une unité par une complicité et un plaisir partagé.

 
Un groupe perdure si il est capable de pallier les effets pervers de chacune des logiques de fonctionnement en en introduisant une autre quand cela devient nécessaire

Chacune de ces quatre logiques est capable de susciter un leader qui l'incarne. Au lieu de s'affronter dans la simultanéité, les leaders se passent alors le relais dans la durée.

 

Si le groupe reste sur le long terme dans une des logiques, il est condamné à la paralysie ou à la scission.

 

Article de Philippe Meirieu "Groupes et apprentissages" pour plus de détails : Cliquez-ici

 
 

Et dans l'enseignement musical ?

Dans notre terrain d’enseignant de la musique on est confrontés aux dynamiques de groupes et de fait aux pédagogies de groupes : 

A titre d'exemple : 

Le groupe équipe pédagogique 

Réunion d’équipes : dans le but de préparer l’année, en faire un bilan, mener des projets et les « fournir ». Quelle est la place de chacun ? Personne n’est là pour s’assurer (comme dans l’expérience) que tout le monde ai pu trouver sa place et/ou d’en exprimer son ressenti. Quels sont les meneurs, les suiveurs ? 

 

Les groupes d’élèves 

Formation Musicale et solfège : qui se rapproche de la classe, du contexte scolaire. 

Groupes de musiques plus ou moins restreints (musique chambre, orchestres) 

Ateliers (selon les esthétiques les phénomène constatés sont différents.) 

 

Dans ces deux cas, nous sommes trop peu conscients des phénomènes de dynamique de groupes. 

 

Quand on fait des recherches dans notre domaine d'application, l'enseignement musical, on se rend compte que le système est encore fortement influencé par le cours individuel et qu'on a du mal à se dégager de cette habitude pour penser l'enseignement en groupe. 

On se rend compte que les outils à notre disposition sont peu influencés par les recherches poussées qui existent déja dans l'enseignement.


Quand on s'interesse à ce sujet on tombe en premier lieu sur ce type de ressources : 

Claude Henry Joubert (altiste, compositeur et chef d’orchestre, formations pédagogiques) dit : 

Ne parlez jamais de pédagogie de groupe à un élu il sortira sa calculette pour vous prouver qu’en 10h vous pouvez enseigner non plus à 20 élèves mais à 60 ! 

Il insiste sur le fait que quand la direction impose l’enseignement instrumental par le groupe cela peut être néfaste si l’enseignant n’est pas à l’aise. 

Malheureusement, en France c’est principalement pour des questions économiques que l’enseignement en groupe est soutenu. Il y a peu de réflexions sur les intérêts des différentes dynamiques que le groupe apporte dans l’apprentissage. 

C'est d'après nous l’argument soutenu pour ne pas se "mouiller" et s'empêcher d'aller vers la véritable pédagogie de groupe notamment soutenu par Meirieu (socio-constructiviste).

Autre exemple :

 A.Biget nous parle du  Principal problème du cours individuel selon elle : 

La lassitude de l’enseignant à répéter une forme de routine à tous les cours

Le manque de temps, insuffisant pousse l’enseignant à imposer plutôt qu’a proposer. 

Arlette Biget (flûtiste et formatrice) :
Comment pourra t-il trouver son propre mode d’expression si son prof d’instrument pour gagner du temps lui impose le sien ?
Dans son livre sur la pratique de la pédagogie de groupe propose des pistes de travail et des activités faisable en groupe : 

  • Ecouter l’enseignant (technique, doigtés, interprétation)

  • Jouer devant les autres et pour les autres, travailler la direction du son et maîtriser les bases d’une communication par le biais de l’instrument

  • Ecouter activement, soi même, les autres, une écoute analytique, critique qui permet de percevoir, discerner, observer, découvrir, comprendre

  • Echanger, débattre, construire, argumenter sur les différents plans : la conception, l’interprétation, l’exécution, la technique instrumentale

 "La pédagogie de groupe n’est pas à opposer à l’enseignement individuel mais de chercher à les mêler. L’alternance semble un équilibre intéressant."

“Un professeur heureux est un professeur qui enseigne autant ce qu’il est que ce qu’il sait, et un professeur heureux est un bon professeur”

Quand on lit Arlette Biget (et sans lui reprocher), on se rend compte qu’elle propose un "bricolage" de solutions pour gérer ses cours : cela ressemble plutôt à plusieurs cours individuels en simultané plutôt qu’à une gestion du groupe sur le mode socio-constructiviste.

Certains se sont pourtant penchés sur ce modèle là (socio-constructiviste)

En voici un exemple : (Enseigner la musique N°5 publication du CEFEDEM, article de K. Hahn) : 

Situation musicale : 3 groupes 

1 - à partir de la partition, jouer le morceau

2 - à partir du support audio jouer le morceau

3 - à partir du support audio, écrire la partition

Résultats : 

1 : le premier groupe gère mieux le phrasé et la répartition des rôles

2 : le second à plus d'éléments concernant la structure 

3 : le dernier à plus d'idées concernant les arrangements

Interêt : 

Diversité des dispositifs : quand on les regroupe cela fait surgir les apprentissages. 

Contre exemple : 

Situation de restitution d’un morceau (chacun apporte son propre savoir pour mener au résultat final) : pas d’apprentissage (logique de productivité)

Le saxophoniste s’occupe de la transposition, le pianiste s’occupe des accords et de la répartition, le guitariste montre au violoniste comment jouer sur plusieurs cordes en même temps… 

Si tout le monde apporte son savoir faire l’autre n’a pas besoin de se pencher sur ce qu’il ne sait pas faire et de fait bloque son apprentissage. 

 

Souvent la pratique collective est considérée comme le simple prolongement de la pratique individuelle.

Est ce qu’il faut avoir tant d’année de pratique pour pouvoir jouer en groupe?

"Il faut utiliser le groupe comme outil et non comme finalité". P.Meirieu

 

Les ouvrages qu'on vous recommande, si vous êtes intéréssé par le sujet d'un point de vue socio-constructiviste dans l'enseignement musical : 

E.Demange, K.Hahn, J-C.Lartigot, Apprendre la musique ensemble, édition Symétrie, 2006

K. Hahn, Enseigner la musique n°5, La pratique de la musique d’ensemble, moteur de l’école de musique de Anse, Cahiers de recherches, p 135-151

 

Bibliographie raisonnée :

Articles et Ouvrages :

 

D.Anzieu et J-Y Martin, La dynamique des groupes restreints, PUF, 12 édition, 2000.

Cet ouvrage nous parle du et des groupes ainsi que des phénomènes de groupes. Il propose une classification intéressante des groupes humains et des groupes d'après leur taille.

 

A. Biget, Pratique de la pédagogie de groupe dans l’enseignement instrumental, Cité de la musique, Paris, 1998.

Ouvrage qui donne des pistes de réflexions quand à l'enseignement instrumental en groupe. Arlette Biget nous fait part de son expériences et des méthodes qu'elle utilise au sein de ses cours en tant qu'enseignante flûtiste.

 

C.Bishop, La pédagogie de groupe dans le cadre du cours de formation musicale, mémoire Cefedem-Rhône Alpes, 2009-2011.

Une réflexion autour de l'organisation du cours de FM et ses enjeux

 

E.Demange, K.Hahn, J-C.Lartigot, Apprendre la musique ensemble, édition Symétrie, 2006

Ouvrage qui propose une réflexion sur l’apprentissage de la musique en groupe de façon poussé (va beaucoup plus loin que Biget) plus dans la vision socio-constructivisme initié par Meirieu.

 

E.Demange, K.Hahn, J-C.Lartigot, Enseigner la musique n°9 et 10, Apprendre la musique ensemble, les pratiques collectives de la musique base des apprentissages instrumentaux,, édition Cahiers de Recherches, 2007, p 273-276

Résumé de l’ouvrage Apprendre la musique ensemble

 

O.Devillard, La dynamique des équipes, édition d'Organisation, 2000.

Un livre qui concerne particulièrement la dynamique de l'équipe : collaborateur, équipier, ainsi que la notion de cohésion, de leader…

 

K. Hahn, Enseigner la musique n°5, La pratique de la musique d’ensemble, moteur de l’école de musique de Anse, Cahiers de recherches, p 135-151

Dans cette Article Hahn nous parle de la mise en place d’un projet de musique d’ensemble au sein de la structure associative dans laquelle elle est directrice: les questions, les étapes, les problématiques...

 

P. Meirieu, groupes et apprentissages, Connexions n°68, Paris, 1997

Pour ce qui concerne le groupe en situation d'apprentissage et sa dynamique

 

P .Meirieu, Remarques critiques sur les pédagogies de groupes

Qui évoque le modèle de la classe et les différents courants pédagogiques

 

J-P Vidal, Penser le groupe : une difficulté à surmonter dans la formation des enseignants, Connexions n°75, Paris, 2001

Enseignant un métier impossible ? C'est cette difficulté à concevoir le groupe au sein même de la formation dont Vidal nous parle.

 

C.Yelnick, Face au groupe-classe. Discours de professeurs, L'Harmattan, Paris, 2005

Discours de professeurs sur les groupes, approche clinique.

Aborde le groupe dans le cadre de recherches en lien avec le psychisme, dans une approche clinique d'inspiration psychanalytique, particulièrement comment les enseignants pensent et imagine le groupe.

 

Liens internet :

 

-Kurt Lewin 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kurt_Lewin

Un article sur le père de la notion de Dynamique de groupe.

 

-Alexis Galpérine, Enseignement collectif, enseignement individuel, http://larevue.conservatoiredeparis.fr/index.php?id=1360&fbclid=IwAR3-5g64DrmiYKc-Qw1xzltQGpjv-Pk2JhpAgp3pmpCOVbjf_7Zg6OxpRI0

Réflexions sur les enjeux réels au centre des débats actuels concernant les pédagogies collectives dans l'enseignement musical.

 

-Les pratiques musicales collectives,

Cliquez-ici

Compte rendu d'une rencontre professionnelle organisée dans le cadre du schéma départemental des enseignements artistiques, département des Hauts de Seine au Conservatoire Léo de Clichy La Garenne. Table ronde de plusieurs directeurs, responsables, enseignants et parents d'élèves autour des pédagogies de groupe.

 

 

 

 

Share this post

Leave a comment

Plain text

  • Aucune balise HTML autorisée.
  • Les adresses de pages web et de courriels sont transformées en liens automatiquement.
  • Les lignes et les paragraphes vont à la ligne automatiquement.