La motivation est fragilisée dans l’univers des pressions environnementales, qui sont le reflet de nos conflits intérieurs. Nous sommes divisés, verrouillés, ou aliénés, apathiques, hyperactifs, absents, crispés, agressifs, alors qu’on sait que tout irait bien mieux si l’on apprenait à nous connaître, à nous relier, à s’écouter, à respirer ; à développer une conscience plus intelligente, respectueuse, responsable et autonome, afin de réduire l’écart entre les discours et les comportements, déjouer les violences insidieuses et banalisées, et permettre aux choses de se mouvoir.

Ce mémoire propose une approche du problème en pointant quelques pistes, de la reconnaissance de nos fonctionnements à la compréhension de capacités et ressources bafouées.Et ce n’est finalement pas tant une question de pouvoir-faire que d’aimer-faire.